Afropean soul
Depuis la première heure
un homme raconte son histoire,il est parti en France pour trouver du travail, pour sa famille, il évoque son retour au pays car il ne se plaît pas en France, malgré qu'on lui est proposé un poste dans une équipe de foot il ne peut pas rester en France car il est nostalgique de son pays, mais il a honte de partir avec toutes les opportunités que la France lui a offert. Il traîne dans la rue et cherche à rentrer chez lui mais sans papiers il ne peut pas, il se sent seul mais ne rentrera pas chez lui car en France ou au Cameroun il ne se sent pas libre.
Il dit a un moment au début de la nouvelle :
« Je n’ose pas rentrer. Même si ici, tout est sombre depuis la première heure du premier jour ; je ne peux pas rentrer. Laisser la honte s’abattre sur moi. Les railleries et le mépris des autres m’engloutir. Autant mourir ici. Comme une bactérie neutralisée. »Puis, à la fin :« Je ne vais pas rentrer. Laisser la honte s’abattre sur moi. Les railleries et le mépris des autres m’engloutir. Autant mourir ici, comme une bactérie neutralisée et que personne, jamais, n’en sache rien. »C’est un cercle sans fin, l’envie de rentrer ne se concrétisera jamais car le personnage a peur.
Fabrique de nos âmes insurgées
Dans une banlieue, une mère, et son enfant ADRIEN de 9 ans habitent seuls dans un immeuble insalubre. La mère est obliger de travailler en tant que secrétaire dans un institut de beauté malgré ses diplômes conséquents, elle enchaîne les emplois précaires faute de ne pas avoir la nationalité française. Elle est divorcé et élève son fils seule, elle travaille toute la journée et la société ne veut pas l'aider car avoir un enfant seule arrive a beaucoup de personnes. Elle est malheureuse et désespérer. Cette situation la détruit petit à petit, elle ne peut pas éduquer son petit garçon qui lui échappe progressivement et se renferme sur lui même. Il veut partir avec les jeunes délinquants de la cité et ne