Analyse interculturelle - espagne
- En Espagne, la distance hiérarchique est acceptée
- Dépendance forte
- Structure pyramidale
- Les employés s’attendent à ce que les décisions soient prises de manière autoritaire et par les chefs
- Tout le monde s’attend à ce que les dirigeants puissent jouir de certains privilèges. Il y a des lois et règlements spécifiques pour les supérieurs et d’autres qui ne s’appliquent qu’aux subordonnées.
B) Le degré d’individualisme
En comparaison avec le reste des pays européens (à l'exception du Portugal), l’Espagne est un pays collectiviste (en raison de son score dans cette dimension: 51).
- Dépendance de l’individu vis-à-vis de son organisation : recherche d’un rôle social au sein de l’entreprisse et un besoin de soutien et d’assistance via l’encadrement et la formation
- Relation de confiance entre employeurs et employés : forte dimension affective dans le travail, accordant une grande importance aux sentiments et relations
- Importance accordée au maintien d’une harmonie dans les relations intergroupes : un conflit qui ferait perdre la face à l’un des deux protagonistes est jugé inacceptable
- Accent mis sur la loyauté et l’ancienneté
Cependant, par rapport à d'autres régions du monde, on voit aussi à travers l’Espagne un pays individualiste. Cela a rendu les Espagnols assez facile de relier à certaines cultures, principalement non-européenne alors que d'autres cultures peut être perçu comme agressif et brutal. D'autre part, le travail d'équipe est considéré comme quelque chose de tout à fait naturel, les employés ont tendance à travailler de cette façon sans qu'il soit nécessaire d’une forte motivation de la direction. C) Le degré de masculinité
Un score élevé (masculin) sur cette dimension indique que la société sera régie par la concurrence, la réussite et le succès.
Un score faible (féminin) sur la dimension signifie que les valeurs dominantes de la société sont le respect des autres et la