Analyse de la pratique ifsi
Elle me répondit alors que face au refus de soin d’une personne atteinte d’Alzheimer il ne faut pas insister et réitérer la demande un peu plus tard , la personne aura peut être oublier qu’elle c’était opposer au soin et acceptera peut être à la deuxième demande mais si elle refuse de nouveau alors il faut accepter son refus et ne pas s’entêter . Formulation de l’étonnementCe qui m’interpelle dans cette situation c’est mon insistance face au refus de soin du …afficher plus de contenu…
Il faut toujours chercher une cause à ces troubles. Ils ne sont pas anodins et leur prise en compte et en charge est nécessaire. Le refus de soin peut être difficilement vécu par les soignant le patient refuse t’il le soin ou le soignant ? Le doute reste parfois total et le refus blessant pour le soignant. Les personnes atteinte d’Alzheimer souvent en perte d’autonomie et non ou mal communicante, elles ont besoin d’accompagnement mais il est souvent difficile pour les soignants d’œuvrer au développement de leurs autonomies lorsqu’il se heurte a un refus de soin . Le soignant est alors tirailler par son professionnalisme voulant exécuter des valeurs caractérisant sa profession : Veillez au confort et au bien être du patient et préserver sa dignité. Cependant dans le contexte de la maladie d’Alzheimer la notion de soin est ambiguë : « soigner n’est pas forcement agir » il faut savoir accepter de ne rien faire et accepter le refus du patient . Le soignant doit