Antologie
Le premier poème est De mon mystérieux voyage, un poème de Charles van Lerberghe, poète et écrivain belge francophone dont son œuvre la plus connue est La chanson d'Ève (1904). Ce texte possède des rimes suivies ainsi que embrassées ce qui nous permet d'éviter quelque chose de monotone qui est parfois lassant. Le second poème est Depuis que j'ai laisser mon naturel séjour de Joachim du bellay, poète français du XVIème siècle. Sa rencontre avec pierre de ronsard fut à l'origine de la fondation de la pléiade, groupe de poètes auquel Du bellay donna son manifeste. Dans ce poème joachim nous montre que son pays, la France et sa compagne, Morel lui manque, ce qui apporte une pointe de pathétique a ce poème. En bateau de Paul Verlaine est le troisième poème de l'anthologie. L'auteur utilise une manière d'écrire spécifique, qui amène une certaine sensibilité, par exemple dans le premier vers, il y a une allitération de «b» qui peut connoter un moteur de bateau (nous avons ainsi l'illusion d'un départ). Après cette connotation on assiste a l'accumulation de thermes mélioratif et agréables qui nous embarquent avec l'auteur tels que « la lune se lève» vers 13 ou bien «l'eau qui rêve» dernier vers, Verlaine nous accompagne dans ce poème tel un eldorado amoureux qui établit un décalage entre la réalité et le rêve. Le parfum exotique de Charles Baudelaire extrait de les fleurs du mal chapitre XXII (1857) est également présent. C'est un poème inspiré par jeanne Duval, maitresse antillaise de Baudelaire. Il s'agit d'un poème parlant de l'amour où Baudelaire met l'accent sur l'odorat d'abord certains points de ce poème évoquent l'état d'âme du poème tels que les adverbes de temps comme «quand», «en un soir» vers 1 permet à l'auteur le développement de l'imagination du poète. De nombreux thermes