Renaissance (1500-1600)

Un royaume en crise

Au début de son règne, François 1er est vu comme un prince moderne qui soutient les idées nouvelles. Il protège les catholiques (dont les évangélistes qui veulent reformer les pratiques religieuses). Mais en 1534 des écrits hostiles a la messe sont placardés sur sa porte, il décide alors de pourchasser ces réformés (futurs protestants qui deviennes alors dangereux pour le pouvoir). Des guerres civiles meurtrières éclatent à partir de 1562 entre catholiques et protestants. La paix ne revient qu’en 1598 alors qu’Henry IV proclame l’édit de Nantes qui assure sécurité et liberté de cultes aux protestants.

Aggravation des inégalités

L’Aristocratie est la classe dominante de la renaissance. Les nouveaux nobles qui sont plus attirés par l’âpres du gain sont plus durs avec les paysans dont l situation empire. De manière générale, l’écart entre les riches et les pauvres se creuse de plus en plus. Le raffinement de la culture humaniste a pu ainsi contribuer à marginaliser les milieux populaires.

L’Humanisme

L’écrivain humaniste défend une nouvelle conception de l’homme. Certes, il a besoin de l’appui du roi ou d’un puissant protecteur pour résister aux attaques de la Sorbonne (faculté de théologie de Paris hostile aux nouveautés) mais il réussit cependant à s’imposer comme une figure essentielle du royaume. François 1er l’aide à remplir sa remplir sa tâche d’éducateur de la noblesse.
En 1530, le roi fonde le Collège des lecteurs royaux, où l’on enseigne le latin, le grec et l’hébreu.

Le succès du livre imprimé

La mise au point de l’imprimerie dans les ateliers de Gutenberg a provoqué une véritable révolution dans la diffusion des textes. Les copies manuscrites étant trop chers et trop rare ont disparu.
De 1500 a 1600 plus de deux cent millions de livres ont étés imprimés , en commençant par les ouvrages pieux puis de plus en plus de classiques grecs et de