art brut
Primitivisme, les origines
=>Art Brut, aspect de cette histoire de Primitivisme
=>Une période après guerre avec cependant un « avant » art brut
Les artistes vont s’intéresser à un aspect particulier de l’art Brut : Les malades mentaux Les Spirites Les autodidactes
Pour DUBUFFET, ils sont des « indemnes de culture »
Plan (global) du cours du semestre :
-Génie / folie dans le romantisme
-La question de l’hallucination / les autodidactes
-Les amateurs
-Les dessins spirites
-L’art asilaire
-Le dessin d’enfants
(Mouvement du cours : partir des origines pour revenir vers DUBUFFET)
-Génie / folie dans le romantisme La notion de folie apparaît au 19ème siècle ; la folie suscite un intérêt
Il y a une proximité folie/génie (avec cette idée que le génie « flirt » avec la folie (les deux notions sont parfois convenues comme étant très proches)
3 Artistes vus :
William Blake
Charles Meryon
Rodolphe Bresdin
3 artistes qui s’expriment par le papier, et le petit format, avec un aspect très « miniature » chez Meryon et Bresdin, qu’on met en rapport avec les hallucinations lilliputiennes, comme un microcosme ; une hallucination du détail
BLAKE : Il a reçu une formation académique, mais rapidement il est appelé « Blake the mad » car il y a dans son œuvre une grande singularité.
Il invente « tout », c’est un auteur à part entière qui s’exprime par le biais du livre dont il est l’unique auteur.
Il est un écrivain, dessinateur, graveur, imprimeur et fait preuve d’une originalité plastique.
Ses œuvres sont vues comme des ouvrages de prophète.
Il crée des livres inclassable qui semblent s’affranchir de la culture
[Important : On ne peut pas parler d’art brut avec ces artistes car c’est une notion qui date de l’époque de DUBUFFET (attention aux anachronismes)
Mais Blake fait partie d’une généalogie de l’art brut]
Blake appartient à son temps : à un Romantisme, mais un romantisme noir qui peut le lié à