Brise marine
Ils traduisent la langueur/lassitude : Je sens (v2), qui dans la mer se trempe ; lampe (ver 5 et 6), Ennui – encore – invitant (v 11 à 13)En outre, ennui de Mallarmé est accompagné d'un sentiment de vide → comme le montre le sentiement du vide/absence/ennui → « déserte », « vide » (v 6-7), « sans mâts » (v15).un quotidien insipideCette lassitude/ennui/vide entraîne chez le poète un quotidien insipide.On remarque dans la 1ere partie de ce poème → champ lexical du quotidien : « livres » (v,1), « vieux jardins »v4, lampe v6-7 ou encore jeune femme allaitant son enfant v8De plus, la forte allitérat° en « r » exprime bien l'idée de saturation, d'un quotidien devenu « insupportable » : « La chair est triste », « ivres » « d'être parmi » « rien » « jardins » (v 1 à 4)Tout comme la consonance en « k » : « je sens que », « l'écume inconnue » (v2 à 3) « ce cœur qui », la clarté » ( 5 à 6)Une fuite en avantRépétiti° du verbe fuir (anaphore au vers 2) → souligne l'impatience du poète « fuir, …afficher plus de contenu…
En effet, le voyage n'exclu pas le danger → évocation de naufrage à la fin du poème et peut être …..Champs lexicaux de l'inconnu, de l'ailleurs : « là bas » (v 2), « l'écume inconnue » (v3) « fertiles îlots » v 15)l'angoisse de la page blanche, la détresse, l'impuissance du poèteImpuissance du poète → → Champ lexical de la tristesse, de la mélancolieEffectivement → Chiasme des vers 6 et 7 « ni la clarté déserte de ma lampe/ sur le vide papier que la blancheur défend » évoque l'angoisse du poète de la page blanche et le manque d'inspiration éprouvée par le