La bureaucratie est fondée entre autres, sur la conformité des actes, l’organisation bureaucratico-monocratique, qui confère (précision, précision, discipline et rigorisme) tous ces éléments conduiront, selon Weber, à atteindre un niveau très élevé de rendement et d’organisation ce qui signifie la rationalisation de l’organisation. Ainsi on peut dire que Weber appréhende l’organisation en terme de précision, de régularité et d’efficacité, Or les périodes de troubles et de désorganisations sociale qui ont précédés et suivi les deux guerres mondiales, ont révélé l’impuissance des systèmes bureaucratiques, ce qui a poussé un groupes de sociologues Américain à apporter quelques critiques sur le modèle Weberien en mettant l’accent sur les irrationalités, les limites et les dysfonctionnements de l’organisation bureaucratique, chacun d’eux a certes, présenté sa propre vision, mais elles ont toutes été englobé sous une même théorie, dont le nom a été proposée par Gouldner est qui est « la théorie des cercles vicieux bureaucratiques», Cette appellation, a elle seule et après une profonde analyse peut nous donner une idée assez claire sur les principes fondamentaux de cette théorie. En effet, un cercle vicieux ou encore enchaînement diaboliques, effet boule de neige ou spirale vicieuse, peut être définit comme étant un ensemble de causes et d’effets qui se réunissent pour former une boucle dégradant la situation dans laquelle ils ont été crées et ceci parce que l’effet négatif nourrit et amplifie les causes qui lui ont donné naissance. Bien que sa définition semble complexe et tordu, la concrétisation d’un cercle vicieux peut survenir à n’importe quel moment et avant que l’on sente quoi que ce soit, la preuve c’est qu’on peut trouver ce terme dans plusieurs domaine, les mathématiques, l’économie internationale, la psychologie, la médecine,…. De ce fait s’il ont fait une projection sur l’organisation qui n’est pas plus facile à comprendre et organiser qu’une plate-forme