Candide
Certaines éditions comportent une page de garde dans laquelle il y a un avertissement ironique. C’est une publication dite « anonyme » à Amsterdam. Le Traité sur la tolérance est la suite logique Candide dans lequel s’engage Voltaire.
On se fonde sur la philosophie de Leibniz (optimiste) « Dieu est parfait et a créé le meilleur des mondes possibles ». De tout mal découle un bien. Le mal ne pourrait être compris que si on pouvait voir tout l’ensemble des causes à effet. Or ce n’est pas possible car nous ne sommes pas Dieu. Voltaire ca réfuter toute cette théorie. Candide est un démenti des faits et de l’optimisme. Voltaire est croyant en un être suprême : le déisme. Il est contre tous les rites, les dogmes et les pratiques.
Petit récapitulatif : Chapitre 1 : Candide est chassé su château car il embrassa Cunégonde.
Chapitre 2 : Il est embarqué dans l’armée Bulgare.
Chapitre 3 : C’est la guerre de 7 ans (1756) contre la Prusse.
Comment Voltaire dénonce t-il la guerre ?
I) Une désinvolture affectée : L’optimisme présenté en focalisation 0 :
1) Appréciations esthétiques :
Voltaire ca prendre à la légère le combat comme les rois et les optimistes. La première phrase contient des hyperboles, il y a une abondance de termes esthétiques => On croit assister à une fête « harmonie », à un concert « trompette » jusque « canons ». Les sonorités sont harmonieuses, Voltaire fait bien des commentaires esthétiques.
2) Les indices ironiques : Tout d’abord, il y a une mise à distance avec la légèreté, l’approximation de mots « à peu près », « environ ». Ces termes minimisent le combat et son horreur. La critique de l’Optimisme tient avec l’exploitation du jargon des optimistes et une théorisation du mal. => Le fait de minimiser le mal scandalise le lecteur. Il y a une critique des philosophes leibniziens qui théorisent le mal. « tremblait comme un philosophe ». La gloire militaire est