Chêne e chien
- Passage au cours de l’adolescente vers 13 ans
- Poème étrange
- Répétition du « je n’ai rien à dire »
- Bruit qui provienne de quelque part mais on ne sait pas d’où
Développement o Poème étrange car les autres poèmes sont des histoires mais pas la même structure o Rime croisé o Strophe régulière à modèle répétitif ( mais c’est faux !) o Poème peu ordinaire o Paradoxe entre « je n’ai rien à dire » et le fait qu’on entende un bruit
- Etude du « je n’ai rien à dire » o Temporalité, continuité : nuit/jour o Ecriture automatique
- Etude du bruit o Rime « i » c'est-à-dire voyelle la plus sonante o Opposition entre silence et détruit
- Lien entre les deux parties o Bruit, son o Associe le rien, le bruit avec le je n’ai rien à dire
- Homme récurent, écriture instantanée
- Réflexion o Le bruit est-il pour toujours ne rien à dire o Chaque son se rapporte à un bruit. On ne peut pas dire quelque chose pour ne rien dire
Commentaire Composé
Il faut rentrer dans les détails du texte
Strophe non régulière
Rime orpheline dans la dernière strophe
Gorgoone : femme avec des cheveux de serpent (monstrueux)
Méduse c’est une des trois gorgone
Il y a des questions avec et sans point d’interrogation
Introduction
Mise en situation du texte
Lecture à l’oral, résumé à l’écrit
Terme du texte de quoi ça parle ? o Association psychanalyse
Structures générales du poème (plan du poème)
problématique
Annonce des axes
La psychanalyse propose une image et demande à son patient de lui dire qu’est-ce que l’image évoque pour lui
« L’herbe : sur l’herbe je n’ai rien à dire » Psychanalyse psychanalysé
Spontanéité dans la reprise sur l’automatisme mais pas sur l’écriture.
Comment comprendre ce changement de rupture ?
Comment comprendre l’unité des strophes ?
On a la présence de trois voix :
- Le psychanalyse - le « j e » qui est conscient - le bruit qui est inconscient