Conscience
« La conscience c’est comme une belle-mère qui serait toujours derrière vous. » Henri Louis Mencken. La conscience est concrète. Elle est là et cela est indéniable, c’est ce que dit d’une part l’auteur de cette citation. Par ailleurs il dit que la conscience est aussi quelque chose qui nous colle, qui nous juge et qui est aussi sans cesse derrière nous. Ce que nous pourrons en débattre plus tard. Mais la conscience, c’est quoi ? La conscience vient du latin conscientia qui signifie connaissance partagé avec un autre. D’un point de vue psychologique, elle signifie une connaissance, une intuition ou un sentiment qu’un sujet possède lui-même, de ses états ou de ses actes. D’un point de vue moral, elle signifie une capacité de formuler des jugements moraux, sur le bien et le mal. La conscience a donc un sens large, et tous ces points peuvent rejoindre le sujet. Quant à lui, fonder signifie appuyer des preuves. Mais il peut aussi signifier créer, établir des bases. Sans oublier le pronom possessif ma limite le sujet à l’individu, à soi, donc à l’homme. On pourrait dans un premier temps penser que ma conscience n’est pas fondée mais il peut aussi sembler que cette vision soit trop sommaire vu que ma conscience peut aussi l’être. Partant, nous traiterons sur le fait que ma conscience peut être infondée. Dans un second temps nous parlerons du possible fondement de ma conscience, et pour finir nous traiterons de la solution à la question.
La conscience, cette voix dans notre tête qui créé notre équilibre. Parfois, elle se brise, chute, cède. Et parfois cette conscience n’est plus. La folie prend le dessus. C’est la folie qui dicte nos pas, c’est la folie qui nous dit quoi faire. La folie, c’est ce qui n’est plus rationnel pour un homme. La folie, c’est la pire des morts. Elle créé donc le non-fondement de cette conscience que nous avons. Prenons pour exemple un cas très célèbre, Anna O.