Corpus
Ce corpus est composé d’un récit de Rabelais Pantagruel 1532, d’une poésie de Victor Hugo issue des Contemplations 1855, d’un essai de Charles Péguy, Les cahiers de la quinzaine 1902 et d’un récit issu du roman autobiographique Le premier homme d’Albert Camus publié en 1994. Ces textes ont pour thème commun l’éducation. Nous découvrirons quelles réflexions sur l’éducation porte chacun de ces textes.
Le texte de Victor Hugo s’adresse au lecteur, à l’être humain en général, celui de Rabelais est un discours d’un père un son fils, celui de Charles Péguy aussi s’adresse au lecteur, seul le récit d’Albert Camus ne s’adresse à personne c’est une autobiographie l’auteur raconte sa propre vie.
Ces différents textes ont des points de vus sur l’éducation différents l’un de l’autre. L’extrait de François Rabelais propose un programme complet à étudié qui inclut de savoir à peut près tout dans touts les domaines ou presque, les trois autres textes ont comme idée force la qualité de l’instituteur dans l’éducation d’un enfant. Dans son extrait Victor Hugo critique les anciens instituteurs sévères « sous le fouet d’un cuistre » l19, « au lieu du magister antique » l22. Charles Péguy lui, insiste sur le fait que l’instituteur ne doit pas représenter la politique, mais l’humanité, « Il ne faut pas que l’instituteur soit dans la commune le représentant du gouvernement » l1, « C’est pour cela qu’il ne peut pas assumer la représentation de la politique » l7, Péguy dit aussi que s’instruire n’est pas seulement destiné aux élèves mais qu’un enseignant doit aussi se cultiver pour mieux transmettre son savoir «