Critique Spartacus
Écrivaine de romans historiques à succès et scénariste française, Juliette Benzoni est née le 30 octobre 1920 à Paris. Récipiendaire de nombreux prix dont le Prix Alexandre-Dumas en 1973 et le prix Chevalier de l’Ordre national du Mérite en 1998, Juliette n’a cessé de nous impressionné avec ses nombreux succès dont il suffit d’un amour et Catherine de Montsalvy, deux de ces plus grands succès. Écrivaine parmi les plus lues, madame Benzoni compte plus de 50 millions de lecteurs dans plus de 20 pays.
Ainsi, dès le début de l’histoire, nous faisant la rencontre de Lentulus Batiatus, chef d’une école de gladiateur, qui quittait son domicile privé pour se rendre à sa propre école de duellistes. Ce jour-là, son effectif s’élevait à 78 hommes. Parmi eux, un Thrace, du nom de Spartacus, se fit convoquer par le laniste. Lentulus se fâcha, en entendant les réponses insolentes du gladiateur quand à la demande de lui amener une femme. Le laniste lui en envoya une malgré le refus de Spartacus. Pendant plusieurs jours et nuits, les deux esclaves se parlaient, en langue étrangère, jusqu’à devenir une habitude. Un jour, lors une rencontre entre gladiateurs, Spartacus proposa une révolte contre l’esclavage. En effet, ce dernier dénonçait les actes répréhensibles des lanistes sur les esclaves. Comment cette rébellion se terminera-t-elle? Qu’arrivera-t-il à Spartacus et Varinia en fin de compte?
Deux raisons expliquent mon aversion envers cette nouvelle. Premièrement, je trouve que les personnages ont mal été travaillés et