Descartes vs rousseau, rousseau
Démystifier les phénomènes par lesquels une personne est en mesure, ou non, de bien agir permet de renforcer ses dispositions, voire de les développer, dans le cadre scolaire par exemple[footnoteRef:2]. Chez les modernes, deux visions s’affrontent sur le sujet. D’un côté, nombreux sont ceux qui font reposer sur la raison la faculté d’orienter les actions vers ce que l’on juge bon ou utile. Cela implique de pouvoir se comporter volontairement en fonction de ce que l’on juge convenable. De l’autre, certains sont d’avis que les êtres humains sont fondamentalement motivés par leurs sentiments, et que c’est en travaillant sur cette dimension sensible de l’individu que nous avons une portée d’intervention. Cependant ni le conditionnement, ni l’éducation, ni même la médecine n’arrivent épuiser les réponses à la question qui mérite alors d’être posée : …afficher plus de contenu…
Certaines parties de la philosophie de Descartes ont été assumées, car elles étaient superflues pour répondre à la question. Ici, les nuances de la démarche du doute méthodique et hyperbolique, la preuve de l’existence de Dieu et le fait qu’il ne soit pas trompeur ont été mentionnés, mais ils n’ont pas été détaillés.
Une citation est commentée pour appuyer le propos. C’est une excellente manière de montrer une compréhension fine et approfondie de la philosophie de l’auteur.
En plus de l’argument principal tournant autour du dualisme, on a donné une preuve supplémentaire du libre-arbitre de la volonté en fonction de la possibilité de faire des erreurs. Il s’agit d’une autre manière d’approfondir l’argument de l’auteur. Plus on fait des liens, plus la position est solide