Dialogues sur la religion naturelle, hume
Dialogues sur la religion naturelle.
Introduction
Parution : 1779 (3 ans après la † de H.). Cléanthe est le héros : H. n’épouse pas ncsrt la cause de Philon. La religion répond à une inclination, mais il faut un argument « parfaitement formel et régulier » pour prouver que celle-ci diffère de notre inclination à l’anthropomorphisme. La religion naturelle accorde inclination et raison, croyance et argument ; elle satisfait la demande φQ.[1] L’examen φQ doit révéler l’évidence du dessein et ne peut se limiter (comme les religions populaires) à l’étude des causes de la croyance religieuse dans la n.h., mais doit approcher la r.n. sur un mode critique. Le sceptique est réfuté et abandonne finalement son argument, avouant qu’il ne faisait que s’amuser avec ses arguties. Histoire naturelle de la religion : rédigée autour de 50 (époque des Dialogues), parue en 57 dans Four Dissertations. Même φ et même stratégie que dans les Dialogues. L’intro de l’Histoire distinguent 2 ? : fondement de la religion dans la raison (? la + importante) ; son origine dans la n.h. (? + obscure). La 1ère est résolues par les « 1ers pp du pur théisme et de la pure religion », puis le texte annonce l’intention de traiter la 2nde, inévitable en ce que la croyance n’est ni universelle ni uniforme : l’histoire naturelle doit exposer la circonstance qui a fait naître une croyance ne répondant pas à un instinct naturel, et les causes qui ont engendré les ≠ formes de religion. Cette distinction accentue les débats de l’époque sur la religion : prévalait la repr (chrétienne et rationalisée) selon laql la religion, inscrite originairement dans la n.h., est redécouverte dans l’enquête rationnelle, le φ découvrant par raison ce que le peuple a tjrs connu par instinct naturel, n’eût été l’effet de la superstition et de l’intrigue des prêtres. H : la religion n’a aucune immédiateté, aucune évidence naturelle et est le terme soit d’une chaine causale d’événements, soit d’une démonstrative de