Fiche sur le chap 14 de Une vie.
Pour rembourser les dettes de son fils, Jeanne est obligée de vendre les peupkes, elle se retire dans une maison à Batteville, c’est aussi la réapparition du personnage de Rosalie qui vient aider Jeanne. Nous nous situons printemps 1848. Jeanne à vécu l’hiver totalement prostrée dans la maison et ne faisait rien. Ici dans cette fin de roman, nous avons l’impression que Jeanne se reprend à espérer. Nous sommes sur le chemin du retour de la gare où Jeanne avec Rosalie vient de récupérer sa petite fille.
Pbq : Quelles sont les caractéristiques de cette fin de roman ? / Comment le bonheur de Jeanne réaparait-il ? / Quelle sorte de denouement offre cet extrait ?
I. L’impression de Bonheur
a) L’espace, le paysage
b) Les perceptions de Jeanne
II. La portée symbolique
a) L’effacement de jeanne, la mise en valeur de Rosalie
b) Le message final
Ia)
-métaphore « l’or des colzas » « le sang des coquelicots » « inondant de clarté » couleurs vives « or » et « sang » paysage très lumineux optimisme pour celui qui le contemple.
-champ lexical du printemps « plaines verdoyantes » « germait les sèves » paysage printanier qui reflète un renouveau de la nature mais aussi un renouveau dans la vie de jeanne.
-champ lexical de la sérénité « le soleil baissait » « quiétude infinie » entre en contraste avec les éléments qui font référence au mouvement « aller grand train » « claquait de la langue » « comme une fusée » qui font encore une fois référence à l’état d’esprit de jeanne, en effet elle est a la fois calme et enthousiaste d’avoir sa petite fille. Le paysage est calme, serein mais n’est pas figé, il est vivant.
-indice temporel « le soleil baissait » renvoi au crépuscule, la fin d’une journée, le soir d’une vie pour jeanne impression de sérénité retrouvée.*
-indices spatiaux « vers l’horizon » « dans le ciel » « en l’air » traduisent un paysage infini, un décor ouvert et sans limites.
Ib)
-perception visuelle « regardait droit