Gournin

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Gourin se situe sur le flanc sud des Montagnes Noires, un des principaux reliefs du massif armoricain, dont le point culminant est le Roc-de-Toullaeron à 318 m, sur la commune de Spézet.
Gourin appartient à la Cornouaille morbihannaise : elle faisait partie de l'évêché de Quimper. La langue utilisée était le breton cornouaillais jusqu'au basculement linguistique vers le français qui eut lieu dans les années 1950. Le Cornouaillais était utilisé dans les communes des cantons de Gourin et du Faouët situées sur la rive droite de la rivière Ellé, tandis que le reste du département utilisait le Breton vannetais (sauf la partie est parlant gallo).
Gourin a la particularité de se trouver à 98 kilomètres de Vannes, son chef-lieu de département, et seulement à 43 kilomètres de Quimper, le chef-lieu du Finistère.
Le sous-sol gourinois renferme des roches de nature divers. On trouve notamment sur les flancs des montagnes noires des gisements de schiste d'âge ordovicien qui furent exploités de manière intensive au xixe siècle et au xxe siècle pour produire des ardoises. Du granite affleure dans le sud-ouest de la commune aux abords du village de Kergus.
Histoire[modifier]

Ancien Régime[modifier]
Aux XIe et xiie siècles Gourin était le siège d'une vicomté qui s'étendait sur les paroisses de Gourin, Guiscriff, Langonnet, Le Faouët et Leuhan et les trèves de Roudouallec, Le Saint, Lanvénégen et La Trinité. Parmi les vicomtes de Gourin citons les noms de Cadoret qui se souleva en 1075 contre le duc Hoël et Tanguy Ier qui participa à la première croisade avec son duc Alain Fergent. La vicomté fut rattachée au domaine ducal dès 1265. Gourin devient alors le siège d'une barre ducale qui après l'acte d'union de la Bretagne à la France en 1532 deviendra le siège d'une sénéchaussée royale jusqu'à sa suppression à la Révolution.
Révolte des bonnets rouges[modifier]
Des paroissiens participent à l'attaque de Carhaix le 6 et 7 juillet 1675 et au pillage le 11 juillet 1675 du

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