Je me nomme Bernard, Bernard Eedwood et dans ma vie j'ai vécu des choses étranges, comme tout le monde, mais une histoire m'a encore plus marquer que les autres. Je me rappelle de cette histoire comme ci c'était hier. Moi et mon ami, Paul Anders étions invités au château du colonel Wayne,en Écosse, il avait paraît-il, une chose très importante à nous confier. Paul et moi étions officier de police. Le taxi nous emmenait vers le château du colonel Wayne. A travers la pluie battante, et grâce aux flashs aveuglants des éclairs, je distinguai une vague forme sinistre et sombre se dressant sur une butte de terre volumineuse. Le genre de maison à vous faire frissonner de la tête aux pieds sans véritable raison. Le paysage aux alentours n’était que forêts sans feuille et prairies à l’herbe morte luisante d’eau. L’automne ici aurait déprimé n’importe qui. En arrivant je vis que le colonel Wayne nous attendait, il se tenait devant la porte. C'était un homme grand, cheveux grisonnant, avec les mains dans les poches ce qui lui donnait un air sérieux. Nous descendîmes et nous payâmes le taxi. Le colonel nous salua et nous invita à entrer. Sa demeure était spacieuse. Il nous guida gentiment jusqu'à nos chambres qui se trouvaient à l'étage et où nous allions séjourner. Une fois nos affaires ranger, l'heure du repas était arrivé. Nous descendîmes les escalier et allâmes nous mettre à table avec le colonel et sa femme. Sa femme s'appelait Blandine, était assez grande et très charmante. Nous nous installâmes à table et nous commençâmes à dîner. Je me souviens encore à quel point ce repas à pu être silencieux, jusqu'au moment où le colonel Wayne nous fit une déclaration.
Si je vous ait demander de venir c'est parce qu'il y a deux années de cela, ma fille Octavie est, décédée noyée, tout le monde pense que c'est un accident, mais moi et ma femme ne le pensons en aucun cas. Dit-il désemparé.
Et vous voudrez que l'on ouvre une enquête ? Questionna Paul.
C'est cela, lui