La fable
De « La cigale » d’Anouilh on peut tirer comme morale qu’il ne faut pas se fier aux apparence ainsi que parfois qui est pris qui croyait prendre. En effet le renard comme le lecteur voit en la cigale une victime « tout enfantine et minaudière » alors que finalement le renard qui pensait tenir « la bonne affaire » se fait avoir et « s’inclina » alors que la cigale devient carrément cynique à la fin « Je veux que vous prêtiez aux pauvres seulement (…) C’est eux dont on vend le plus facilement.»
On peut tirer pour finir de la Fable de Sveso que l’argent peut tout acheter. A chaque demande du chevalier (demande de gloire et d’amour), la fée rétorque en lui proposant de l’argent et lui assurant qu’avec ceci on peut tout obtenir. La fin laissant le dernier mot à la fée montrant donc bien que tout s’achète avec l’argent même la plus pure et simple volonté « contemplation simple »
2) Les Morales que nous avons tirées des fables ne sont pas conforme (on pourrait même dire s’oppose) à ce qu’on appelle communément la morale. En effet si on part de la morale comme une théorie de l’action humaine visant au bien les morales, la fourmi de La fontaine aurait dû aider son congénère la cigale mais elle n’en fait rien et se moque d’elle, la morale n’est pas aider vous les uns les autres mais travailler au lieux de vous amuser. De même que la cigale de Jean Anouilh qu’on pensait innocente et douce se révèle cynique prête à extorquer aux pauvres.
Enfin la morale de Sveso bien que n’incitant pas particulièrement à commettre des actes égoïste s’oppose à la morale commune qui est que tout