La nuit des temps
Le récit s’ouvre sur les paroles du docteur Simon, rentré chez lui après avoir perdu la femme qu’il aime. Cet aparté, en
italique, a lieu, chronologiquement, après l’histoire principale qui suit.
Les chapitres suivants, à la 3ème personne, nous apprennent qu’alors que Simon finit une mission en Antarctique, une
épidémie de rougeole l’oblige à accompagner une poignée de scientifiques sur une portion française du territoire, le
point 612. Là-bas, tous les appareils repèrent dans le sol des lignes trop parfaites pour être naturelles et le sondeur le
plus perfectionné perçoit un signal ultrason. Simon et d’autres se rendent donc à Paris pour demander du matériel
supplémentaire, l’occasion pour Simon de remarquer qu’il n’est plus du tout pressé de retourner à la civilisation. Le
superviseur de la mission française fait appel à la communauté scientifique internationale et les médias commencent à
manifester de l’intérêt. La famille française moyenne, représentée par les Vignont, reste apathique.
De retour en Antarctique, plusieurs bases scientifiques sont installées : E.P.I 1, 2 et 3. On commence alors à creuser le
sol et une des premières découvertes est un oiseau exotique. Un peu plus bas, on trouve des ruines qui tombent en
poussière lorsqu’on les extrait de la glace. Ensuite, on découvre du sable et, au milieu de ce sable, une grande sphère d’or
munie d’une foreuse. C’est de là que provient le signal ultrason. On parvient à ouvrir la sphère, à l’intérieur de laquelle
il fait froid. L’exploration est difficile : un faux mouvement fait fondre tout ce qui, dans la sphère, n’est pas de l’or pur.
Après avoir aspiré la poussière, les scientifiques découvrent une deuxième sphère, l’Œuf.
2e partie : Eléa (p. 83 à 176)
Simon se retrouve face à face avec la femme dont il parlait dans l’aparté qui ouvrait le récit. En effet, dans l’œuf, un
homme et une femme masqués sont conservés