La bruyère, caracteristiques, caractères dangereuses
3) « Vient-on de placer... » (P.454) 4) Cimon et Clitandre (P.455)
__________________________________________________________________Recherches sur « La querelle des Anciens et des Modernes » + l’apprendre. __________________________________________________________________Voir « Préface » Caractères.Dans cet préface, l’auteur …afficher plus de contenu…
» Lignes 6 à 13 Traduction : « Le lecteur doit s’imposer de corriger, faire évoluer les hommes. Même si les hommes ont des vices, il ne faut pas hésiter de leur faire prendre connaissance de leur défaut. Sans critiques, sans censeurs, le vice est omniprésent. Ainsi est la recette du bon écrivain. » Lignes 13 à 17 : traduction « l’auteur peux être satisfait de son succès mais doit avoir honte si tout ce qu’il a écrit n’était fait que pour ça. »Lignes 19 à 22 : « si notre écrit se dévoue à la vérité et l’instruction, on ne doit pas culpabiliser lors de notre succès » « Voilà la règle » est une expression péremptoire qui résume la façon dont l’écrivain doit écrire. C’est ainsi que l’auteur voit les choses. 1) Quelle est la thèse de l’auteur L’auteur veux qu’un ouvrage ne soit destiné …afficher plus de contenu…
« Comme si... », il s’invente une vie, il ment. Il fait des discours, il se donne de l’importance, il est pompeux. Hypotypose = figure de style qui consiste à donner l’impression au lecteur que la scène se déroule sous ses yeux. On voit le personnage d’Arrias en acte. Portrait en acte. Il s’agit d’une longue phrase dans laquelle on peut constater, une abondante ponctuation. Ici l’auteur met Arrias en situation, dans un repas mondain et effectivement, l’emploi du présent et l’accumulation d’informations dans une seule et même phrase, donne l’impression d’être témoin de la scène. La longueur de cette phrase traduit la logorrhée du personnage. Une incontinence de la parole. Tout ceci contribue à une forme de théâtralisation voulue par La Bruyère. Cette longueur de phrase peut être rapprochée de l’hyperbole. Une façon d’être hyperbolique. Cette logorrhée correspond à l’omniprésence du personnage. Il s’agit donc de l’aristocratie : «