1erFragment rem.6 P.16 : À travers ce fragment, l’idée que pour plaire la déformation de la langue est utilisé, il est montré que pour se faire remarquer des personnes reforment certaines phrases ou expressions afin de les faire sortir du lot et qu’elles se fassent valoriser ou mettre en valeur, quand l’auteur dis “ce qui est pire, on en souffre” me fait comprendre que ce faire remarquer pour ces personnes ne veut pas forcément dire être intéressant, car elles utilisent le ridicule pour exister (Marquer les gens par son ridicule enrichissement de la langue). 2ᵉ Fragment rem.11 P.25 : Je comprends dans ce fragment, qu’on nous montre quelqu’un pensant être remplis de savoir et de bonnes anecdotes, mais qui en réalité est quelqu’un d’assez pesant qui veut beaucoup plaire alors qu’il est très peu intéressant et qu’il s’agit d’une question de temps pour…afficher plus de contenu…
Elle propose deux choix et un dilemme, c’est-à-dire, faut-il traverser les épreuves ou les contourner afin de pouvoir arriver le plus rapidement a son objectif. C’est un fragment qui laisse la question en suspens avec une réflexion, car seule la réponse s’apporte en testant ces deux…afficher plus de contenu…
Mais sur cette remarque ce qu’il y a d’intéressant est que La Bruyère met en évidence quelque chose dont les Grands sont incapables, c’est-à-dire entretenir le succès, car une fois acquis il est bien difficile de maintenir le cap ce qui est intéressant et qui peut renvoyer a la citation “Rien n’est jamais acquis” de Louis Aragon même s’il s’agit d’un proverbe ayant été créer bien plus tard je trouve cela intéressant de lier les fragments au monde