Le dernier jour d'un condamné
Le dernier Jour d’un Condamné
Cela fait six semaines que le narrateur est condamné à mort et qu’il vit avec une obsède pensée, celle de la guillotine.
Dans la prison de Bicêtre, il raconte ses derniers jours avant son exécution. Il écrit ses angoisses, ses tristesses et ses pensées, il décrit sa cellule et la terrible vie qu’il mène en prison tout en détails et remplis d’émotion. On ne connaît ni son nom, ni la raison pour laquelle il s’est retrouvé ici.
Chaque semaine, il a droit à une promenade, en compagnie d’autres prisonniers qui lui apprennent l’argot. Une fois, il observa attentivement les inscriptions sur les murs de son cachot. Avant lui, une multitude de criminel sans remord se sont retrouvés à sa place quelque années plus tôt. Horrifié par un vulgaire dessin d’un échafaud, l’image de sa future mort.
Au petit matin, après que le guichetier ait proposé un petit déjeuné au narrateur, ce dernier comprend aussitôt que son exécution et pour le jour même. Sous le choc par la nouvelle, il vacille, il tremble, un frisson tiède lui prend les hanches.
Le prisonnier est ensuite transféré à la Conciergerie ou il attendra dans un cabinet. Là, il fit une rencontre curieuse avec un condamné qui lui raconta son histoire et qui s’empara de sa redingote.
Le condamné est alors transféré dans une autre cellule.
Ici, sa jeune fille Marie de trois ans vient lui rendre visite. Il l’a prend dans ses bras, il l’a serre fort contre lui, mais Marie ne reconnaît pas cet homme, cet homme qui l’avait quitté qu’a ses deux ans. Il en resta choqué et perdu tout espoir.
Ils le dirigèrent vers la place de Grève devant une foule qui attendait l’exécution comme un spectacle.
Le condamné demanda par pitié qu’on lui donne encore cinq minutes pour attendre la grâce. Il espéra mais voilà qu’on venait le