le désir
Intro : désir vient du latin SIDUS (étoile) et d’un privatif DE SIDUS = désir .
La 1ère expérience du désir est celle du manque, ce qu’on ne possède pas, vécu comme une souffrance, révèle nos limites.
La 2ème expérience du désir , celui qui nous fait agir, moteur des actions humaines, vécu comme une puissance. = expériences contraires.
Le désir n’est il pas le passage de l’une à l’autre ? N’est est pas la dialectique du manque de la puissance qui fais le désir ? Si le désir est omniprésent peut-on envisager une vie sans désir ?
I) Le désir comme manque (Platon, le banquet)
Dans le banquet : plusieurs définition du désir : Chaque convive adopte une perspective différente pour caractériser le désir. Personnes réunis : poète, médecin, auteur, philosophe, homme politique, 2 amis de Socrate.
Désir considéré comme sentiment humain et puissance universelle, du coté du bien, inspire la vertu et des belles actions.
Il faut distinguer 2 types de désirs :
Le désir populaire : plaisirs du corps : actions mauvaises
Le désir spirituel : S’intérrèsse plus à la personne et à ses qualités morales, intellectuelles : bonnes actions. Prend en compte l’intéret de l’être aimé, relation pas seulement affectives ou physique mais vertueuse à pour principe la justice, apporte du bien à l’amant et l’être aimé. Le désir nous améliore.
Désir : force qui agit dans la nature toute entière, afin d’en rapprocher les différents éléments, cosmos : produit du désir, il représente un tout ordonné. Cet ordre peut rapprocher les semblables ou faire que les contraires s’attirent : désir est à l’œuvre dans la nature, on doit lui reconnaitre un rôle essentiel.
Il est nécessaire d’expliquer pq on le ressent comme manque.
Aristophane : auteur comique, invente une fable pour expliquer l’expérience du désir.
Explication : Au commencement : créatures endrogines qui par orquiel décidèrent de s’emparer du mont