le malentendu
Premièrement, le thème de l’absurde. Lorsque Martha annonce à Maria que sa mère et elle ont tués son mari, elle lui dit simplement : « Nous avons tué votre mari cette nuit, pour lui prendre sont argent comme nous l’avions fait déjà pour quelques voyageurs avant lui » (p. 238). Cela prouve bien l’existentialisme de Sartre. En effet, Martha semble insensible à la propre mort de son frère. Elle voulait être libre et n’a pas hésité à être l’enfer des autres. Ensuite, Jan est étranger. L’étrangeté est l’une des principales caractéristiques de l’absurdité au sens où l’entent Camus. Il est étrangé lui-même et chez lui. Il est étranger parce qu’il veut retrouver ses racine identitaire et chez lui parce qu’il se présente comme un étranger lorsqu’il arrive à l’auberge et que Martha lui demande son nom et qu’il s’inscrit sous le nom de Karl Hasek et que ce n’est pas son vrai nom étant Jan. En plus, Maria lui dit : « […] quand on veut être reconnu, on se nomme, c’est l’évidence même […] Comment ne serais-tu pas traité en étranger dans une maison où tu te présentes en étranger? ». En répétant le mot étranger, Maria veut accantuer le thème de l’étranger qui souligne le thème de l’absurde. Donc, Jan et Martha sont des