Le point culminant
C’est le moment où les os diront leurs salutations à la peau. Les poils vont tous s’étirer et les cheveux vont monter. Le cœur battra tellement lent que les oreilles entendront chaque bruits, comme le crissement des métaux. Le ventre se tournera tellement sur lui-même qu’il se croira une roue d’un véhicule sur l’autoroute. L’espérance est que le train ne restera pas prit mais il y a toujours la peur d`y descendre. Si les yeux voyagent au sol, regardent le monde qui ont les yeux sur eux, ils souhaiteront seulement qu’ils peuvent échanger de situation. Le cerveau veut seulement survivre donc il exigera à tous ses serviteurs de s’agripper à quelque chose, que ce soit une barre ou une porte.
Le cerveau croit que s’il survit cette montagne russe, il n’ira plus jamais sur une chose si atroce et effrayante. En ralentissant, le cerveau sait que le train va arriver au point culminant et par la suite, descendre le rail avec une vitesse dépassant la celle d’un guépard. En ralentissant, le cœur ralentit encore à un point où un homme qui occuperait un moniteur de fréquence cardiaque pourrait lire qu’il est décédé. Lors de l’arrivée au sol, il va y avoir un baiser sur la terre, un