Lectures de deux jeunes mariées
Cette lettre est une rupture avec la vie des deux amies, nous sommes à l'épilogue et Louise, certaine de l'infidélité de son mari se rend volontairement malade «Renée, le malheur est venu ; non, il a fondu sur ta pauvre Louise avec la rapidité de la foudre, et tu me comprends : le malheur pour moi, c’est le doute.». C'est la dernière lettre du roman imprégnée du désespoir, de la maladie et de l'agonie de Louise, scène racontée par Renée, appelée à son chevet. Elle est porteuse du discours rapporté de Louise. Il s’agit d’un dénouement tragique.ProblématiqueEn quoi cet épilogue est-il le bilan et l'illustration du titre du roman de Balzac "Mémoires de deux jeunes mariées"? Les mouvements du texte Premier mouvement: Le discours direct de Louise : …afficher plus de contenu…
le verbe à l’impératif « ne me quitte plus » montre que Louise qui est mourante supplie son amie de rester à son chevet.Je suis pleine d’énergie, de jeunesse, et je saurai mourir debout.CDNAntithèseFutur de certitudeDiscours direct L’antithèse « jeunesse » et « mourir » crée un paradoxe . le futur de certitude « je saurai mourir » crée un registre tragique : la mort de Louise est imminente et inéluctable.Quant à moi, je ne me plains pas, je meurs comme je l’ai souhaité souvent : à trente ans, jeune, belle, tout entière.PSC de Adjectifs La proposition