Les preventions et les prises en charges
Enquête réalisée en 2007 par l’INPES à partir de la question « D’après vous, quelle est la quantité d’alcool que la femme enceinte peut consommer sans prendre de risque pour son bébé ? », 1000 personnes ont été interrogées.
http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1117.pdf
Ce diagramme circulaire nous montre qu’un grand nombre de personnes pensent que boire de l’alcool durant la grossesse est sans risque pour le bébé alors que même à très faible dose l’alcool peut provoquer de graves conséquences sur le développement de l’enfant. Cela prouve que les personnes ne sont pas assez informées de ce danger et qu’il faudrait d’avantage de prévention. (Voir annexe… les degrés de dangerosité des boissons alcoolisées)
A. Les préventions
En 2003 les femmes qui ont un enfant atteint du syndrome d’alcoolisation (SAF) ont porté plainte car elles ne savaient pas que boire de l’alcool peut provoquer un risque de handicap chez l’enfant ce qui a causé l’obligation de la mise en place du pictogramme sur les bouteilles d’alcool. Désormais toutes les boissons alcoolisées commercialisées en France devront comporter soit un pictogramme représentant une silhouette barrée d’une femme enceinte qui tient un vers à sa bouche ou la mention «La consommation de boissons alcoolisées pendant la grossesse, même en faible quantité, peut avoir des conséquences graves sur la santé de l’enfant».
La France est le premier pays en Europe à se doter d’une telle législation pour prévenir le Syndrome d’Alcoolisation Fœtale. (Voir Annexe…Questionnaire de l’addictologue)
La mère boit le plus souvent parce qu’elle souffre peut-être à cause d’une séparation, pour oublier, pour faire la fête, pour faire comme les autres, pour le plaisir ou encor par convivialité, euphorie.
B. Les prises en charges
Prise en charges chez l’adulte :
Pour aider les femmes alcooliques,