Marie laberge
Premièrement, d’après le dictionnaire Le petit Larousse, le mensonge est une action contraire à la vérité et d’altéré la sincérité. Il est aussi dit : « Le mensonge sert de fondement à sa politique. ». Tout d’abord, si nous le regardons sous le contexte du roman, Juillet, nous apercevons pratiquement le mensonge comme l’outil de résolution de problème. Les mensonges dans cette histoire représentent également une source de bonheur à soi-même, aussi un minimum nécessaire pour ne pas exploser de honte ou de colère car mentir c’est être l’auteur d’un mensonge faisant apparaître les choses telles qu’il voudrait qu’elles soient. Ce qui n’est pas toujours approuvé par tout le monde. Alors si on se fit par exemple de la discutions entre père et fils, Simon ignore et n’approuve aucunement le fait de devoir discuter avec David lorsque que celui-ci lui parle naïvement sans se rendre compte que son père ne porte aucune intérêt ce qui peut sortir de sa bouche et du fait qu’il voit son fils ne réalisant rien de ce qui ce passe. Pour ne citer que de quelques exemples de la façon dont il s’y prend et réplique pour éviter de s’en occuper :
« Simon avait regardé son fils barboter… David… je suis content et fier de toi,… » (p.70, lignes 23