Montserrat
Dans le but d'analyser l'évolution des critères de valeurs au point de vue de la peinture ainsi que celle des décideurs de ces critères, je me suis basée sur les documents suivants : un extrait de Christian DELACAMPAGNE un texte de Nadeje LANEYRIE DAGEN un extrait de Pierre CABANNE un autre extrait de Christian DELACAMPAGNE un dernier de Michel ON FRAY
Analysons non seulement la fonction de la peinture mais aussi les critères de valeurs de celle-ci du XVIe siècle au XX e siècle. Lorsque la Renaissance prend place, au XVIe siècle, l’œuvre devait paraître vrai, c'est pourquoi elle représentait un réalisme intégral, parfois idéalisé. Les règles étaient très importantes, si bien que les œuvres étaient faites de perspective et de formes géométriques. Tandis qu'au XVIIe siècle, l’œuvre devait pl aire ce qui limitait la liberté du peintre. Ensuite, son second but était d'instruire grâce à la moralité. Le classicisme, le courant de cette époque, était fondé sur une certaine hiérarchie au point de vue du sujet (Dieu, roi, noble, mythologie). En effet, l'histoire était représentée sous une allégorie. De sorte qu'une qualité d'exécution s'installe. Comme le soin, la perspective, l'harmonie. En outre, le dessin prime sur la couleur. Quant au XIX qui équivaut à deux courants, tantôt le courant académique, qui a pour but plaire, d’instruire et d'instaurer une morale, tantôt le courant moderne. Les peintres devaient donc faire preuve d'harmonie et de netteté, de perspective. De plus, ils devaient établir une primauté du dessin sur la couleur, comme au XVIIe s. Au XIXe siècle vient l’impressionnisme, les peintres reviennent à une peinture liée à la réalité. Mais ils tâchaient d'utiliser toutes les possibilités. L’œuvre permettait donc aux artistes de se libérer de toutes contraintes. Ils pouvaient peindre ce qui les touchait comme ils le souhaitaient. Pour se faire, il existait deux techniques soit celle d'utiliser