C’était le 17 juillet 1878, un très beau jour d’été. Le soleil était au rendez-vous. François, un jeune écrivain âgé d’une vingtaine d’années vint se promener sur une plage de Bretagne jusque là presque déserte. Il avait avec lui un petit cahier gribouillé ainsi qu’in minable crayon. Il venait à Etretat pour se changer les idées afin de trouver l’inspiration que lui manquait depuis peu. François était vêtu d’une veste grise plutôt simple et d’un pantalon en flanelle. Issu d’une famille modeste, ses parents étaient fiers de lui et répétaient sans cesse qu’il allait finir sa vie comme écrivain, ce qui était pour François une passion. Il avait un caractère introverti presque timide. Il ressentait le besoin d’exprimer ses sentiments, ses sensations par l’écriture. Il habitait une petite ville de province et cherchait à découvrir grâce au voyage et à la rencontre de personnes, l’inspiration qui lui manquait. Il avait commencé à écrire à l’âge de onze ans lors d’un dîner chez des amis de ses parents. Sa passion le dévorait. Ses parents étaient stricts pour le bien de leur fils et lui apprenaient les bonnes manières. Les années s’écoulèrent et François grandit. Plus le temps passait et plus l’envie de devenir écrivain était forte. Son père, Charles, était un homme trapu, très gentil et par-dessus tout généreux. Sa mère quand à elle mourut quand il avait dis ans. Ce fût une année très difficile pour
François qui garda le souvenir de sa chère est tendre mère qu’il a chérie jusqu’à sa mort. Voila ce qui arriva ce fameux jour, le 17 juillet. François, en vacances à Etretat décida d’aller se promener sur la plage pour trouver l’inspiration pour le nouveau livre qu’il avait commencé. Il monta dans une calèche tirée par deux magnifiques chevaux. En arrivant sur la plage, le sable était encore humide. François le regarde attentif est sûr de lui, admirait le paysage. Après avoir bien marché, il s’arrêta sur un rocher juste devant la mer et sentit