nuit rhénane
On a l'impression que le poème se met à l'écoute d'un autre poème avec la mise en abîme du deuxième vers ''Écoutez la chanson lente d'un batelier''. Et celui si raconte une hallucination qui est sans doute dut à l'alcool que boit le poète. Son hallucination est forgé sur des légendes comme des ''fées'' et des ''femmes aux cheveux verts''. Et il y a le chiffre sept qui est un chiffre mystique par rapport à l'endroit où La Loreley est sur le Rhin car l’écho si répètent sept fois. Cela rend le lecteur mal à l'aise et cela est renforcée par l'allitération en ''v''. L'auteur nous recommande d'écouter son histoire pour que l'on ne se fasse pas avoir à notre tour avec le verbe ''Ecoutez'' puis il ordonne de ne pas tomber dans la dépression amoureuse avec l'impératif des verbes et d'autre mot comme ''debout chantez'' et ''mettez'' et entre les deux impératif il souhaite ne plus y repenser avec le subjonctif du passage ''que je n'entende plus''
Mais l'auteur revient rapidement au monde du réel, qui s'opposent à ce que vient de raconter le poème par exemple il disait ''les femmes aux cheveux verts'' et maintenant il parle ''de filles au cheveux blond'' qui fond penser aux Alsaciennes qui peut-être se promenait au bord du Rhin. Il fait leur stéréotypes avec ''les filles blondes au regards immobile et aux nattes repliées''. Le poète nous rejette du monde fantastique avec les