On ne badine pas avec l'amour
S’inscrivant dans une époque charnière de l’Histoire greque, Eschyle soulève des questions liées à la Justice, à la liberté par accompagner l’èmergence d’un ordre nouveau. Spécifiquement, c’est dans les Suppliantes que le dramaturge par l’intermédiaire du personnage collectif du chœur donne une voix légitime aux femmes en dehors de toute marge.
Nous allons developper comment Eshcyle présente-t-il la voie idéale à suivre pour les forts dans une société dans laquelle les femmes ne se protègent pas et les hommes ne prennent pas décision. D’abord, on montre la situation dans l’œuvre et aprês, les essaies de rapprocher idéalement la société juste collectif sur le point humain et divin.
I. La déscription de la circonstance injuste : sans autonomie ni liberté
Dans la Démocratie, surtout comme un instrument de la liberté, il faut que le peuple prenne la liberté du choix de faire ce qui lui plaît, avec l’arbitraire et indépendamment. Mais les personnages dans cette œvre agissent dépendamment et passivement.
1. Les Danaïdes : privées de l’initiative de ses vies.
Même si elles sont des pincesses, elles sont des femmes destinées à ne pas avoir le pouvoir de refuser l’hymen qu’elles voulent eviter ni de s’en protèger. pp. 67 : « C’est d’elles que j’attends un merveilleux secours. », pp. 67 : « Celui de décorer les statues que tu vois d’offrandes insolites. »
2. Le roi d’Argos : privé de pouvoir de décision à lui tout seul.
Bien que le roi d’Argos, c’est-à-dire Pelagos prenne la décision de se battre contre les fils