Philosophie
A partir de ses exemples, l’idée de sujet semble correspondre à celle d’objet car il n’a pas la possibilité d’agir par lui-même.
En philo, l’idée de sujet est pensée comme une caractéristique proprement humaine qui contient à la fois l’idée de soumission et d’action. Ce qui fait qu’un homme est un homme c’est sa subjectivité, c’est-à-dire la capacité qui le caractérise en tps qu’être capable d’être conscient de lui-même. La subjectivité n’est rien d’autre que le sentiment de soi.
Objectif/subjectif :
Un jugement objectif : ne prend en considération que l’objet dont on dit quelque chose. Ne tient compte que de la réalité extérieure.
Un jugement subjectif : pleinement relatif au sujet, ce qui dépend de notre propre intériorité. * On a tendance à valoriser les énoncés subjectifs car ils peuvent être reçus de façon universelle et admis comme vrai. Au contraire les énoncés subjectifs sont critiquables car ils sont toujours particuliers et relatifs au point de vue de celui qui l’énonce. Mais l’opposition entre obj et subj s’efface dès l’instant où l’on conçoit la subj come ce qui relève d’une propriété de la pensée en générale. L’objectivité n’est rien d’autre que l’accord rationnel et méthodique des subjectivités.
En philo, on cherche à comprendre comment grâce à sa conscience le sujet est capable d’une certaine autonomie dans ses pensées et