Plan
Dans le roman, il est question de Montag, un pompier qui se questionne sur l’État totalitaire. Dans cette société, les pompiers doivent brûler les maisons qui contiennent des livres, puisque ceux-ci son considérés comme méprisables. Les pompiers suivent les lois à la lettre, sans se poser de questions. Un jour, Montag rencontre une jeune fille, Clarisse, qui est complètement détachée face à l’État et qui se pose des questions sur tout, contrairement aux autres qui ne prennent pas le temps de s’arrêter. Clarisse s’émerveille de tout et amènera Montag à décider de changer.
J’ai trouvé la lecture de ce roman était facilitée par les nombreuses figures de styles utilisées. Ainsi, il m’était aisé de me faire des images et de saisir les choses d’une nouvelle perspective. J’ai été très surprise de la vitesse à laquelle les trois chapitres se sont lus. C’est, à mon avis, grâce à l’écriture figurée de Bradbury. Le roman comporte aussi beaucoup de symboles. Par exemple, au début, on apprend que Montag a une salamandre de tatoué sur le bras, celle-ci symbole du feu et de sa maîtrise. J’ai alors compris que les pompiers sont ceux qui mettent le feu et qui en ont le contrôle. Ce sont eux qui dirigent la société par la peur.
Par ailleurs, je crois que le fait d’avoir utilisé le futur comme thème crée un environnement très intéressant. Ray Bradbury a publié cette œuvre en 1953, alors que la télévision n’était que très récente. Dans son roman, l’auteur prédit que la télévision pourrait devenir un