Poème
On voit bien qu’il parle de sa jeunesse, notamment dès le premier mot : « Ma » jeunesse.
Dans le premier quatrain, le poète compare sa jeunesse à une saison, qui est l’été et qui est bouleversée par les différentes intempéries.
En effet, les termes comme « ténébreux orage » ou « tonnerre et la pluie » (l1/2), nous éclairent sur le fait que sa jeunesse est difficile, et que le temps ne facilite pas les choses.
On constate au fil du texte, que sa vie est vite accablée par le poids de la douleur. Malgré quelques espoirs, et lumières, le retour du désespoir fait surface. En effet, les termes comme « soleil » et « brillants » l 2 nous montrent bien que sa vie est comme même traversé par la lumière.
On constate que le sonnet est construit de façon alterné, donc : ABAB. Cette construction nous fait penser en fait à l’alternance entre les épisodes heureux de sa vie : « soleil », « vermeils » et malheureux : « orage », « ravage ».
Au dernier vers du premier quatrain, le mot « jardin » est comme un symbole du souvenir des épisodes heureux, une façon de se remémorer cette période tumultueuse. En fait, c’est comme la représentation du travail qui a été accompli. L’expression, « fruits vermeils » peuvent suggérer les œuvres du poète. Dans le deuxième quatrain, le poète décrit la saison de l’automne. On voit que ce quatrain évoque la résignation du poète, avec notamment la première expression : « voilà que ».
L’expression au premier ver : « l’automne des idées » suggère une sorte de dépérissement des forces du poète, le fait qu’il perde ses forces.
Cette expression nous montre effectivement que c’est le déclin d’une vie.
Donc dans ce quatrain on constate une vision assez pessimiste de sa période de sa vie.
Les vers 6 et 7 nous montrent que le jardin est en mauvais etat, «