Pour s'en tenir au premier exemple, c'est à dire la Wicca, il est plus certain qu'il soit dit que sans cette croyance duothéiste, il n'y a pas de Wicca et donc, qu'il faut s'en tenir. Il est tellement plus simple et facile (quoique, je m'avance déjà beaucoup en postulant pour tous la capacité de sentir qu'il y a autre chose dans ce monde que le visible et le palpable) de reconnaître l'existence d'être invisibles, angéliques, divins ou d'esprits de la nature (terme défini selon la culture ou les préférences de chacun), que d'adhérer à un dogme qui leur donne forme et explique leur existence : celui de la Déesse et du Dieu, ou toute autre représentation de la divinité donnée par un système. Et oui, un dogme. Quoi d'autre, puisque c'est manifestement une base incontournable. Que la Wicca se clame sans dogme ne semble pas réaliste, peut-il seulement y avoir de spiritualité ou de religion bien précise dans qu'il y ait de dogme, et sans que l'on ne cherche à les propager, même le plus subtilement du monde? Ainsi, de nos jours et au moins depuis Voltaire, le mot "dogme" n'est pas beau et se classe quasiment dans les insultes, mais je me demande s'il ne faut parfois pas appeler un chat, un chat. C'est d'autant vrai à chaque fois qu'il se trouve une personne pour dire à une autre, en Wicca, en paganisme ou toute autre religion ou spiritualité que sa croyance est mauvaise. Parce que justement, lui ou elle saurait ce qu'il est juste de