Rapport de stage agence de voyage
Chère Madame,
Je vous écris cette lettre afin de vous faire part de mes pensées quant à ce livre s'intitulant «Oscar et la Dame Rose» dont vous m'en avez fortement conseillé la lecture.
L'auteur, Eric Emmanuel Schmitt parle au coeur et touche l'âme du lecteur, qui oscille entre rires suite à la manière dont Oscar s'exprime, et pleure lorsque ce dernier doit affronter la fatalité. À travers ce roman, nous retrouvons les préoccupations de chaque tranche de vie. Je respecte notamment l'audace dont il a fait preuve en incluant dans son roman le language familier : «si je m'intéresse à ce que pensent les cons, je n'aurai plus de temps pour ce que pensent les gens intelligents.»
Je qualifierai l'intérêt du choix du genre épistolaire d'intéressant, sachant qu'une correspondance par lettre est présente, mais qu'avec une seule personne. N'ayant conscience de l'identité de Dieu, Oscar se conforme aux codes du genre épistolaire, avec adresse au destinataire, formule finale, signature et souvent post-scriptum, dans l'attente d'une réponse de celui-ci, étant dans cette aventure, son confident, son témoin et son guide. À noter qu'il fût très agréable de suivre les pensées d'un enfant de dix ans, s'exprimant sans tabou et sans détour.
Je voudrais aussi vous parler du rôle de Mamie-Rose, pour ma part, important. En effet, cette femme apprend à Oscar à s'accepter chaque jour. Elle n'a pas peur de lui dire la vérité : « - j'ai l'impression que personne ne me dit que je vais mourir. - pourquoi veux-tu qu'on te le dise si tu le sais, Oscar ! ». Elle trouve les mots justes pour l'aider à comprendre qu'au final, la mort fait partie de l'ordre des choses.
Mamie-Rose accompagne Oscar au long de ces douze jours qui lui reste à vivre en faisant de ce court laps de temps, une vie riche et dense, épanouie dans l’amour de sorte à ce qu'Oscar puisse avoir le temps de vivre, avant de