Semprun et zoran music
Music a formé, dans Dachau même, et tout de suite, des années après, dans la série Nous ne sommes pas ils derniers (1970) seulement à enfoncés du champ, les terminés, les morts vivants, les cadaverizados vivants, "les dénommés(nommés) dans un jargon du Lager muselmanner, de musulmans(musulmanes)", par son attitude physique qui rappelait le recueillement pour la prière(proposition). Un autre élément des camps que Semprún identifie dans la peinture de Music est la promiscuité. "Le pire souvenir n'est pas la faim, le sommeil(rêve) et la peur, mais l'enfer de vivre sans être un seule seconde seul". Music est resté très marqué personellement par cela : "Il était très difficile de converser avec lui, il était très silencieux. Et cette tentative, de finir avec la promiscuité de la mémoire à travers de la solitude, la physique et celle-là de ses autoportraits est aussi une marque, le reste des camps".