Stupeur et tremblement d'Amélie Nothomb
D’abord, il y a présence d’individualité. Amélie aurait aimé être japonaise, alors elle leurs accordaient grand respect puis elle était ouverte à tous même jusqu’à se diminuer. : «Non seulement il m’accordait ma chance, mais en plus, il ne me donnait aucune instruction : il me laissait donc carte blanche ce qui au Japon, est exceptionnel.» (p. 33) En utilisant le procédé de la gradation ascendante, l’auteur veut éveiller le lecteur afin qu’il comprenne la chance qu’Amélie croyait avoir. On pourrait comparer cette chance à l’utopie.
Ensuite, Amélie est reconnaissante envers les employés de Yumimoto puis cela la valorisait. Elle connaissait leur nom et leur date de naissance par cœur alors, elle leurs souhaitaient un joyeux anniversaire à chacun d’eux : «Ensuite, je découvrais que je n’avais pas étudié par cœur la liste Yumimoto pour rien : je pouvais non seulement identifier les moindres des employés, mais aussi profiter de ma tâche pour, le cas échéant, leur souhaiter un excellent anniversaire, à eux ou à leur épouse ou progéniture.» (p. 25) Grâce à la gradation ascendante, le lecteur peut comprendre l’importance d’éprouver de la reconnaissance envers les employés et leur famille de la part d’Amélie.
D’abord, il y a