Virginia woolf, biographie
(1928)
''Orlando''
(1929)
roman de Virginia WOOLF pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 8) l’intérêt de l’action (page 9) l’intérêt littéraire (page 18) l’intérêt documentaire (page 27) l’intérêt psychologique (page 35) l’intérêt philosophique (page 39) la destinée de l’œuvre (page 45) Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire.com/ …afficher plus de contenu…
Lui, qu’aucun souci des convenances ne saurait arrêter, mène une vie d'amant ardent, et met la reine en colère quand elle voit ce «jeune mâle», qui ne «fait qu'obéir aux ordres de la nature», donner «un baiser à une jeune fille». De plus, il montre son «goût pour la basse compagnie», ne détestant pas s’encanailler avec des matelots et avec des femmes, étant ainsi surpris par le comte de Cumberland alors qu'il est couché avec une certaine Sukey. Après la mort de la reine, il réapparaît à la cour de
Jacques Ier, étant alors admiré de «mainte dame prête à lui accorder ses faveurs». Ce sont :
Clorinde, qui est délicate et «sous l'influence des prêtres», ce qui lui fait «rompre le mariage» ; …afficher plus de contenu…
Un jour, «laissant choir sa plume», elle «s'exclame : Fini !», constate que, «tout le temps qu'elle avait écrit, le monde avait continué». Comme le manuscrit «a besoin d'être lu», elle vient, en train, le porter à Londres. Se rendant dans sa nouvelle maison, dans
Mayfair, elle se demande : «Qui sont maintenant les beaux esprits?» Elle s'étonne d'«étranges petites boîtes montées sur roues encombrant le pavé, traînées par des chevaux», de «l'énorme rumeur de la rue», de la foule omniprésente, de la monotonie de l'architecture, des «statues d'hommes gras, noirs, luisants, strictement boutonnés». Or elle rencontre «ce bon vieux Nick Greene», «le bouffon à deux sols la ligne qui, sous le règne d'Élisabeth, l'avait raillée, à côté de tant d'autres», «lui avait