wiesel
Tout d’abord, dès le deuxième chapitre du roman « La nuit » de Wiesel, on remarque la présence de la déshumanisation. C’est à l’instant où les juifs ont passé sous l’autorité allemande. Dès le premier voyage, le narrateur n’en peut déjà plus, après seulement 2 jours de voyage en train, il meurt de soif et ne peut manger à sa faim. En effet, le narrateur Elie Wiesel se sens déjà traité comme un moins que rien, comme un animal sauvage. Ainsi, quand les autorités allemandes font par au groupe que « Si quelqu’un manque vous serez tous fusillés, comme des chiens…» (p.63) Cette figure d’analogie qui est une comparaison, en effet de sens elle met en évidence le rapport de supériorité et d’infériorité. Par la suite, Levi lui aussi vie un sentiment de déshumanisation en se comparant à un animal. L’auteur a le sentiment d’être traiter comme une bête en cage, «Il me rappelle les chiens de traîneaux des livres de Jack London qui peinent jusqu’aux souffle et meurent sur la piste» Cette figure d’analogie qui est une métaphore, à pour effet de sens de représenté l’assimilation qui s’opère entre le comparé et le comparant et de faire ressortir les effets de cette assimilation. Ces deux figures d’analogie représentent comment les deux auteurs percevaient