Zola et la peinture
On voit au premier plan la course de chevaux avec sur leur dos des jokers, ils sont peints de façon très précise sur une pelouse bleu-verte qui ressemble presque a un lac. Les proportions des cheveux ne sont pas respectés ça attire l’œil et cela montre l'importance des course hippique à l'époque.
Autour des coureurs on voit une nombre incalculable de personnes qui vu par leurs vêtements appartiennent sans doute à la noblesse ou à la bourgeoisie. Ils sont soit a cheval, soit a bord de calèches et de voiture. On ne peut pas compter ces gens car ils sont peints de manière très peu précise et sont au loin. Ils se noient presque dans le bleu-vert de la pelouse. Ils finissent même par former une masse grise et noire au fond du tableau.
On peut comparer ce tableau à l'incipit de La Curée écrit à la même époque. Zola y peint un monde mondain qui a le besoin d'être là où sont les autres . Il y désigne d'ailleurs les même couleurs sombre des mondains et de leur laquais vêtus de «livrée bleu sombre», de «gilets rayés noir». On retrouve aussi la masse grise et noire sous forme de «tâches unies, de teinte sombre». Zola décrit un paysage d'après midi ,où l'on ne parle pas de course de cheval, on perçoit quand même la même atmosphère de lieu à la mode. Il y a aussi certains détail qui permettent de rapprocher les deux œuvres, la phrase «ça et là , dans un landau découvert, éclatait un bout d'étoffe, un bout de toilette de femme, soie ou velours. Zola parle des personnes présentes en les désignant par leur vêtements. Dans le tableau on ne voit pas le visage des personnes mais les vêtements sont plus précis et ce sont eux qui forment la masse sombre. On en viendrait même à chercher dans le tableau les