L'abstraction lyrique
Kandinsky est le premier qui définit un courant lyrique et romantique de l’abstraction, projection du monde intérieur et de la vision imaginaire de l’artiste.
Pour moi, l’abstraction lyrique, c’est ressentir et non voir ce que l’on veut représenter. En symbolisant par les formes et les couleurs, sans représenter concrètement quelque chose.
Joan Mirò
Joan Mirò était Catalan, il naquît à Barcelone, le 20 avril 1893 et décéda le 25 décembre 1983 à Palma de Majorque.
Sur wikipédia, ils écrivent que son travail reflète son « attrait subconscient pour l ‘esprit enfantin. »
La première œuvre dont je vais parler est « Mai 1968 ». (1)
À première vue, il y a deux parties au tableau. On voit des formes non géométriques. Les couleurs sont assez vives. Ensuite, c’est comme si Mirò avait voulu bafouer son œuvre, il a peint dessus en noir, il y a une énorme tache qui a créé des coulées sur le tableau.
Ce tableau représente une révolte, d’après son titre. C’était peut-être la manière de Mirò d’exprimer ses sentiments et son opinion.
La deuxième œuvre est « codes et constellations dans l’amour d’un femme » . (2)
La première chose qu’on voit, ce sont les deux yeux. Sinon, il y a aussi toutes sortes de formes qui sont plus fines et plus légères que dans le tableau précédent.
Les couleurs dominantes sont le rouge, le noir et le blanc.
Je trouve que ce sont toutes les facettes différentes (ici de la femme apparemment, quand on connaît le titre) qui sont représentées. Toutes les courbes, les petites étoiles, on distingue un espèce de nez et aussi un pied. Et l’e l’ensemble de ces choses ressemble en effet à des