L'étourdissement vérif de lecture
-------------------------------------------------
-------------------------------------------------
-------------------------------------------------
Vérification de lecture « L’étourdissement »
Dés le début du récit, Joël Egloff imagine un monde très étrange. Le climat est totalement déprimant, il fait très chaud, il y a du brouillard, les vents sentent mauvais et une chape de plomb qui ne laisse pas passer les rayons du soleil recouvre la ville. Dans le livre le narrateur va même chercher Bortch pour lui montrer une éclaircie tellement cela est rare. L’auteur a imaginé un univers futuriste en total dégression ce qui est un problème d’actualité avec le réchauffement climatique et la pollution même si c’est volontairement exagéré par l’auteur dans ce récit.
De plus, le narrateur vit entre la station d’épuration, la décharge, l’abattoir, la rivière qui mousse et la ligne à haute tension qui grésille tout le temps. L’auteur a imaginé ironiquement un monde qui n’inspire pas du tout au bonheur. C’est un univers industriel et urbain qu’a imaginé l’auteur pour nous faire réfléchir sur les conditions de vie du narrateur et nous renvoyer a un problème de société qui est qu’il n’y a pas assez de logement pour chacun et donc que certains vivent dans des conditions déplorables. L’auteur veut nous faire réfléchir à ce problème a travers le vieux Coppi qui dort dans des épaves ou dans un local EDF.
Plus surprenant encore les vacances du narrateur a la décharge et a la station d’épuration d’une part par l’endroit et d’autre part du fait qu’il part le matin pour s’y rendre et rentre le soir. Il n’y a pas de véritable départ le narrateur a l’illusion d’être parti en vacances mais c’est un rêve. Pour le narrateur c’est une rupture avec le quotidien, le champ lexical de la joie apparaît dans le texte, une