1918 1920 Une Paix Difficile

Mutinerie : Les soldats refusent d’obéir et de combattre. Armistice : c’est un accord entre pays en guerre pour arrêter les combats. Guerre de position Guerre de mouvement Guerre de mouvement 1919 1918 1917 1915 1916 1914 Séquence 1 : La 1ère guerre mondiale et ses conséquences Séance 1 : 1914-1918, 4 années de guerre Pourquoi une guerre aussi longue ? L’assassinat de François Ferdinand le 28 Juin 1914, l’héritier d’Autriche-Hongrie à Sarajevo en Bosnie est l’élément déclencheur du 1er

conséquences de la guerre ont été tres vastes, cet essai se limitera à étudier les faits qui se sont manifestés dans la période 1918-25. Ainsi on se concentrera sur les conséquences les plus immédiates de la guerre. On commencera par les pertes humaines, matérielles et financières, avant de focaliser sur les aspects sociaux, culturels et politiques de la France d’après-guerre. En 1918, la première guerre mondiale est le conflit le plus meurtrier de l’histoire jusque-là. Pour l’Europe, c’est un désastre

entre l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie. Un traité secret de réassurance entre Bismarck et la Russie est signé en 1887-1888. Un traité secret permet le rapprochement entre l'Allemagne et l'Angleterre. Néanmoins, la position de l'Allemagne reste difficile car elle ne peut faire coexister les intérêts contradictoires entre la Russie et l'Autriche-Hongrie pour les Balkans; et la Russie et le Royaume Uni pour l'Empire Ottoman. 2. La triple entente Le nouvel empereur Guillaume II en Allemagne lance

le 11 novembre 1918. B) Une vague révolutionnaire En octobre 1917, les Bolcheviques (communistes) prennent le pouvoir par une révolution dirigée par Lénine. Celui-ci décide de stopper la guerre et signe avec l'Allemagne une paix séparée, très défavorable, le 3 mars 1918 à Brest-Litovsk. A la fin de la guerre, des tentatives révolutionnaires communistes éclatent en Allemagne et en Hongrie, mais elles sont écrasées. Des grèves ouvrières éclatent un peu partout en Europe. C) La paix des vainqueurs

En 1914 – 1918, puis en 1939 – 1945, l’Europe et le monde sont plongés dans des conflits dont la violence et la puissance de destruction sont sans précédent. L’espoir d’une sécurité collective, apparue en 1918 renaît en 1945 avec la création de l’ONU. Les unifications allemandes et italiennes modifient l’Europe, tandis que l’Autriche-Hongrie occupe la Bosnie. Par ailleurs, la course aux colonies provoque des tensions franco-britanniques, entretenue par l’empire allemand. Enfin des revendications

chiffres excluent la Russie et la Turquie où une partie importante des pertes eut lieu après novembre 1918 ; avec ces deux pays, il faut au moins doubler le total). De plus, cinq millions de civils avaient péri des conséquences indirectes de la guerre (épidémies, famines, privations) — là aussi, il faut sans doute en rajouter au moins autant si l’on tient compte de la guerre civile russe (entre 1918 et 1920). Les vainqueurs étaient tout aussi saignés à blanc que les vaincus : la France avait perdu 10,5%

1915 dans les Dardanelles face aux Turcs. Malgré un débarquement à Salonique, les Alliés ne peuvent empêcher l’écrasement de la Serbie. 3/ 1917-1918 : des crises à la victoire de l’Entente | a/ 1917 : une année de crises  La lassitude s’installe chez les belligérants. L’échec des offensives, l’éloignement de toute perspective de paix provoquent en 1917 un fléchissement du moral. Dès grèves éclatent l’arrière et des mutineries sur le front.  La Russie cesse le combat. Le mécontentement

Le 11 novembre 1918 est marqué par l'armistice de la Première Guerre Mondiale. Il met ainsi fin aux quatres années de combats mortels. Dès lors, ce sont des familles mais aussi des sociétés entières dans le monde entier, endeuillées, qui pleurent les neuf millions d'hommes morts. Aussi bien du côté des vainqueurs comme la France ou le Royaume-Uni, que du côté des perdants tel que l'Allemagne. Néanmoins, les deux camps n'ont pas la même manière de garder le souvenir des ces soldats. Leurs visions

l'état d'esprit qui animait les Français dans la période de l'entre deux guerres : ils furent bercés par un aveuglement et une confiance inconsidérée qui n’amena que déception et désillusion par àcoups successifs. L’annonce de l’armistice du 11 novembre 1918 est accueillie en France avec un immense enthousiasme. C’est la fin de la terrible épreuve qu’ont subie les Français, et elle se termine par une victoire sur le rival allemand détesté. L’armistice est un moment de véritable communion nationale. Cependant

la capacité des Français du début de ce siècle à affronter une telle épreuve? Dans quelle mesure la « culture de guerre » de 1014-1918, pour employer ici un concept qui cherche à rendre compte de l'ensemble des modes de représentation du conflit parmi les contemporains, et qui à son tour détermine leurs attitudes, leurs comportements et leurs pratiques entre 1914 et 1918, s'est-elle structurée autour de l'idée de nation? Culture de guerre et propagande: de la défense de la nation à la défense de