4p Sephora

nombre des actions, on pourra rédiger un plan d’actions général et un plan d’actions détaillé. Le marketing mix regroupe les actions sur les « 4P1 » qui permettent d’atteindre les objectifs visés et de concrétiser la stratégie choisie. 1. Les « 4P » : produit, prix, promotion, place. Openmirrors.com 96 Le plan marketing Produit Prix Qualité, caractéristiques, gamme, design, marque, conditionnement, taille, garantie, services, etc. Tarif, remises, rabais, conditions

le nombre des actions, on pourra rédiger un plan d’actions général et un plan d’actions détaillé. Le marketing mix regroupe les actions sur les « 4P1 » qui permettent d’atteindre les objectifs visés et de concrétiser la stratégie choisie. 1. Les « 4P » : produit, prix, promotion, place. 96 Le plan marketing Produit Qualité, caractéristiques, gamme, design, marque, conditionnement, taille, garantie, services, etc. Prix Tarif, remises, rabais, conditions de paiement et de crédit, remises

moyens d’action sur le marché ». Le classement établi par McCarthy regroupe quatre variables qui sont le produit, le prix, la distribution (ou place) et la communication (promotion). Cet ensemble d’éléments est également connu sous la dénomination des 4P faisant référence aux appellations anglaises de ces moyens d’action (product, price, place and promotion). Ces différentes variables doivent être en adéquation avec l’environnement externe de l’entreprise (en termes de demande, de concurrence, de législation

géographique semble constituer la dimension la plus naturelle de développement, elle est aussi complexe, et réclame du temps et de lourds investissements. Par ailleurs, ses résultats sont souvent aléatoires – comme en a fait l’expérience la chaîne française Sephora, qui a fermé début 2002 les magasins qu’elle venait d’ouvrir en 2000 et 2001 au Japon et aux États-Unis. De ce fait, le processus de développement au niveau international rend le jeu à la fois plus ouvert et plus difficile. Nouvelles catégories

géographique semble constituer la dimension la plus naturelle de développement, elle est aussi complexe, et réclame du temps et de lourds investissements. Par ailleurs, ses résultats sont souvent aléatoires – comme en a fait l’expérience la chaîne française Sephora, qui a fermé début 2002 les magasins qu’elle venait d’ouvrir en 2000 et 2001 au Japon et aux États-Unis. De ce fait, le processus de développement au niveau international rend le jeu à la fois plus ouvert et plus difficile. Nouvelles catégories de

géographique semble constituer la dimension la plus naturelle de développement, elle est aussi complexe, et réclame du temps et de lourds investissements. Par ailleurs, ses résultats sont souvent aléatoires – comme en a fait l’expérience la chaîne française Sephora, qui a fermé début 2002 les magasins qu’elle venait d’ouvrir en 2000 et 2001 au Japon et aux États-Unis. De ce fait, le processus de développement au niveau international rend le jeu à la fois plus ouvert et plus difficile. Nouvelles catégories

serviettes de bain épaisses, le client se sentira bien et appréciera son séjour. Il aura donc envie de revenir et gardera une bonne image de l'hôtel. Le toucher permet également de créer la familiarité avec le point de vente. Dans les boutiques Séphora, par exemple, l'épais tapis rouge invite à la flânerie et participe au bien-être des clients. Ainsi, les clients qui entrent dans la boutique sont incités à rester plus longtemps que dans une autre, et cela maximise les probabilités d'achat. Le

d’ouvrir une filiale de distribution en Belgique et développe son activité en Australie. © Groupe Eyrolles Enfin, LVMH a également poursuivi une stratégie d’intégration verticale à travers l’acquisition de DFS (Duty Free Shopping) en 1996 et de Séphora en 1997, qui représentaient des circuits de distribution privilégiés pour ses produits. Ces développements se sont néanmoins avérés beaucoup moins intéressants que prévu. En effet, DFS a vu son chiffre d’affaires baisser de 16 % et ses profits de

Moët Hennessy vient d’ouvrir une filiale de distribution en Belgique et développe son activité en Australie. Enfin, LVMH a également poursuivi une stratégie d’intégration verticale à travers l’acquisition de DFS (Duty Free Shopping) en 1996 et de Séphora en 1997, qui représentaient des circuits de distribution privilégiés pour ses produits. Ces développements se sont néanmoins avérés beaucoup moins intéressants que prévu. En effet, DFS a vu son chiffre d’affaires baisser de 16 % et ses profits de 66