Analyse Le Père Goriot Premier Chapitre

(1956) 68 3 *Colombine (Paul Verlaine) (1956) 72 3 82 Le testament (1956)n 74 3 86 Les croquants (1956)n 76 4 90 Je me suis fait tout petit (1956)n 79 4 114 Les philistins (Jean Richepin) (1957)n 80 4 *102 Au bois de mon coeur (1957) 81 4 *104 Grand-père (1957) 84 4 *110 Celui qui a mal tourné (1957) 86 4 112 Le vin (1957)n 88 4 *92 L'amandier (1957) 89 4 *94 Oncle Archibald (1957) 92 4 98 La marche nuptiale (1957)n 94 4 100 Les lilas (1957)n 96 5 118 Le vieux Léon (1958)n 100 5 *120 La ronde des jurons

des titres et des noms est celle du catalogue informatisé. Chaque titre est accompagné de sa cote à l’Université de Montréal; s’il est conservé au Centre d’études québécoises, on trouvera la mention «CÉTUQ». Deux index suivent le répertoire : le premier comprend les noms des directeurs des mémoires et thèses recensés; le second, les auteurs étudiés dans ces mémoires et thèses. La constitution de ce répertoire a nécessité la collaboration de plusieurs personnes. André Audy, de la Bibliothèque des

symboles 11 Donnez la signification de ces abréviations. 1 Monsieur 8 substantif 15 2 Madame 9 exemple 16 3 habitant 10 vocabulaire 17 4 référence 11 environ 18 5 pharmacie 12 astronomie 19 6 zoologie 13 masculin 20 7 traduction 14 adjectif 21 chapitre encyclopédie féminin invariable italique maximum mythologie 22 pluriel 23 suivant 24 singulier 25 inverse 26 édition 27 conjonction 28 locution 29 avant 30 mathématiques (conjugaison) 12 Copiez ce texte en plaçant les majuscules et les

car en fait il a t vaincu par Rodrigue (scne 6).Rodrigue demande pardon au roi. Ce dernier donne du temps Chimne pour son deuil mais lui impose dpouser Rodrigue, conformment sa promesse dpouser le vainqueur (scne 7). Lillusion comique ACTE I Le premier acte commence lentre dune grotte o se prsentent deux personnages Pridamant, un pre plor par la disparition de son fils (Clindor) et Dorante qui il explique les causes possibles de cette disparition. Dorante veut lui prsenter un magicien quil sait

prayer to the Virgin. Villon’s poetry has roots in the thirteenth-century dit and his themes (nostalgia, regret, death) were commonplaces of the well-established ‘testament’ genre. But the emotion is genuine (for his mother, for his uncle, his ‘plus que père’) and has a wider range: Villon moves from the courtly to the sotte chanson, from the ‘Belle dame sans merci’ to Grosse Margot, from the language of piety to thieves’ cant. He was remembered, as he predicted, as a clown. But his real legacy was to