Antirétroviral

de mortalité dû à au virus du sida très élevé contrairement aux pays européens ou en Afrique du Nord où le taux de mortalité est presque nul. Sur ce document on peux remarquer que ce sont les pays à forts revenus qui ont recours au traitement antirétroviral mais ce n’est pas pour autant qu’ils ont un taux de mortalité inférieur à l’Europe de l’est et d’Asie centrale mais si il reste faible par rapport à l’Asie et L’Afrique subsaharienne. Document 2: Afrique, sida et conflits armés  Le

représente à tout processus de développement, lutter contre cette maladie apparait donc plus qu’une nécessité. Dans le cadre de cette lutte, les trithérapies, association de trois médicaments antirétroviraux qui inhibent la réplication du VIH, sont apparues sur le marché depuis le milieu des années 90. Ces antirétroviraux ont fait l’objet d’une étude réalisée par des chercheurs canadiens et américains et financée par l’institut national américain sur l’abus des drogues, l’institut national américain de la

à se nourrir. °°°° entre 1990 et 2004 on remarque une très forte augmentation de la transmission du VIH. a partir de 2005 on remarque un ralentissement de la répartitions de la pandémie. °°°°° l'élément qui a permis de rendre le traitement antirétroviral plus acscebile est son prix qui a nettement baisser dans les pays en développent (sous développer). °°°°°° mais pour autant il reste au moins 5milions de personnes sur 9.5 soit 58 % de la population n'a toujours pas accès a un traitement ou a

prendre des médicaments pour prévenir une maladie. Post veut dire après, exposition veut dire être en contact avec le virus et prophylaxie signifie l’empêchement d’une maladie. C’est un traitement prophylactique. Parmi eux, sont les traitements antirétroviraux et tests de dépistages. Pour ce qui est du PPE-VIH, c’est de prendre des médicaments anti-VIH quelques temps après que le virus se soit démontré pour ensuite empêcher le VIH d’infecter les cellules. On prend deux ou trois médicaments par mois

les deux dernières années, la moitié de la diminution mondiale des nouvelles infections a été enregistrée chez les nouveau-nés. Le rapport montre que le traitement antirétroviral s’est imposé comme un outil efficace pour sauver des vies. Sur les 24 derniers mois, le nombre de personnes ayant accès à un traitement antirétroviral a augmenté de 63 % au niveau mondial. Toutes ces avancées ne devraient pas nous faire oublier que le Sida continue à tuer et que 34 millions de personnes vivent avec cette

de transmission du VIH au cours de rapports oro-génitaux, essentiellement par fellation passive, mais aussi par rapport oro-anal, ont été rapportés20. Les personnes séropositives au VIH ne souffrant d’aucune autre MST et suivant un traitement antirétroviral efficace, c'est-à-dire ayant une virémie indétectable depuis au moins six mois, ne risquent de transmettre le VIH par voie sexuelle que de façon négligeable, avec un risque inférieur à 1 sur 100 00021. Lors d'une relation sexuelle, seuls les préservatifs

hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) ont été les premiers touchés ; Le virus du VIH a été isolé en 1983 ; Le premier traitement antirétroviral, l’AZT, a été découvert en 1987. La trithérapie, associant plusieurs médicaments beaucoup plus efficace, est devenue disponible au milieu des années 1990, puis des traitements antirétroviraux (TAR) de plus en plus puissants permettent de penser qu’un jeune adulte séropositif commençant rapidement son traitement pourra vivre jusqu’à 80 ans

Antiviral Ce médicament est un antirétroviral[->80] actif sur les virus[->81] de l'immunodéficience humaine (VIH[->82]). Il appartient à la famille des inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse. En bloquant cette enzyme[->83], il empêche la reproduction du virus[->84] dans les cellules infectées, sans toutefois permettre son élimination. Il est utilisé chez les patients infectés par le VIH[->85] en association avec d'autres médicaments antirétroviraux. Il peut être utilisé chez l'adulte

hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes, et les détenus. Ces groupes doivent jouir de l’égalité d’accès à l’information et l’éducation en matière de prévention du VIH, et aux produits, ainsi qu’aux soins, à l’appui et au traitement antirétroviral ; ne doivent pas être soumis à la violence ou à la coercition sexuelle, le cas échéant ; et doivent être à même de participer à la formulation et la mise en œuvre des politiques liées au VIH et au sida qui les affectent. * Non-discrimination/égalité

Libération, 1er Décembre 2000 source : Histoire Géo CAP Hachette 2004 (Prost), p.36 L'AZT (zidovudine, médicament antirétroviral), par exemple, n'est donnée qu'aux gens riches et une simple trithérapie coûte déjà entre 10.000 et 15.000 dollars par an! Le sida tue plus de 6000 personnes par jour en Afrique subsaharienne, alors que dans les pays riches, les médicaments antirétroviraux maintiennent durablement les malades en vie. En Occident ils ont fait baisser la mortalité de près 30%. En Afrique