Bernard Werber

BERNARD WERBER, Les Fourmis, Paris, Le Livre de Poche, 1993, 312 pages RESUME : Jonathan Wells est serrurier et hérite d’un appartement qui appartenait à son oncle Edmond. Ce grand appartement se situe au sous-sol mais la situation financière de Jonathan ne lui permet pas de refuser cet héritage. Il décide de s’informer sur cet oncle qu’il connaît très peu et se rend chez sa grand-mère, la mère d’Edmond. Il tombe sur un message de son oncle qui lui est destiné car Edmond avait prévu que son neveu

pense, même si cette réponse inattendue semble déranger Marie. Et il nous montre, par cet exemple, qu’il est tout à fait libre de ce qu’il veut dire, qu’il n’a aucune retenue face à la vérité, même quand celle-ci dérange fortement. Comme disait Bernard Werber : « Je réalisais que moi aussi, au fond, j'avais toujours été gentil par égoïsme. Par fainéantise aussi, et pour ne pas me compliquer la vie. La gentillesse est juste un confort pour être tranquille. ». Meursault l’a compris, et ne veut pas se

permet de soulever des montagnes. « Il ne faut pas penser à l'objectif à atteindre, il faut seulement penser à avancer. à force d'avancer, qu'on C'est ainsi, atteint ou qu'on double ses objectifs sans même sans apercevoir. » Bernard Werber Chaque jour, fixez vous une feuille de route, un objectif à atteindre. « Le secret, c'est de vivre au jour le jour, ici et maintenant, et de bien hiérarchiser les objectifs. Il y a la montagne à gravir et les étapes pour arriver

Fiche de lecture n˚2 1) RÉFÉRENCES DE L'OUVRAGE WERBER Bernard, Les Fourmis, Paris, Albin Michel, 2008. 2) L'OUVRAGE a) Résumé Jonathan Wells, un serrurier au chômage, hérita de la maison de son oncle Edmond, sise rue des Sybarites 3 à Fontainebleau dans la région parisienne, et s'y installa avec sa femme Lucie et son fils Nicolas. Étant donné qu'il ne connaissait pas bien son oncle décédé, il alla visiter sa grand-mère Augusta pour en apprendre plus sur lui. Cette

de nous par ce moyen passe à travers le filtre de l'opinion que nous nous faisons de nous. Ainsi, nous pouvons être tentés d'exagérer, d'amoindrir ou de taire certains de nos défauts. Dans son roman de science-fiction La Révolution des Fourmis, Bernard Werber nous rappelle que " pour comprendre un système, il faut… s'en extraire. " Or, il est impossible de " sortir de soi " ! Je suis à la fois le sujet et l'objet. Le Je qui pense le moi en est une émanation. L’introspection est presque impuissante

par l'introspection passe à travers le filtre de l'opinion que nous nous faisons de nous. Ainsi, nous pouvons être tentés d'exagérer, d'amoindrir ou de taire certains de nos défauts. Dans son roman de science-fiction La Révolution des Fourmis, Bernard Werber nous rappelle que " pour comprendre un système, il faut… s'en extraire. " Or, il est impossible de " sortir de soi " ! Je suis à la fois le sujet et l'objet. Le Je qui pense le moi en est une émanation. L'introspection ne peut, seule, mener à

Appréciation : 2/5 Je n’ai pas aimé cette histoire, parce que je trouve l’intrigue principale sans intérêt. Je trouve l’histoire banale. Je considère d’ailleurs qu’un récit d’anticipation peut être beaucoup plus amusant à lire. Il n’y a qu’à lire du Bernard Werber pour en avoir la preuve. Le seul point positif que j’ai trouvé à cette histoire : la façon dont l’auteur a démontré avec ironie l’égocentrisme du chef Angora, c’est ce qui fait l’histoire, selon moi. Le Uhu (page 23) -le récit fantastique-

plus haut avec son éditeur. Dans le cas des écrivains qui atteignent des sommets, le montant peut dépasser 15 % du prix de vente hors taxes des livres grand format. Cette année, Tatiana de Rosnay et Michel Houellebecq remplacent Marie NDiaye et Bernard Werber, classés dans le palmarès en 2009. Alice Cousin Crespel, analyste marketing au sein du cabinet d'études GfK, explique que Tatiana de Rosnay, qui écrit en français et en anglais, a bénéficié de l'impact de la sortie au cinéma du film adapté de

LE LIVRE DU VOYAGE Né en 1961 à Toulouse, Bernard Werber a publié sa première nouvelle dans un fanzine à l'âge de 14 ans. Après avoir été pendant dix ans journaliste scientifique dans les plus grands news magazines français, il se consacre à l'écriture romanesque. Dès son premier livre, Les Fourmis, ce jeune écrivain s'est imposé comme un maître original d'un nouveau style de littérature, à cheval entre la saga d'aventures, le roman fantastique et le conte philosophique. Le Jour des fourmis

1 « Sous l'avalanche ininterrompue d'informations insignifiantes, plus personne ne sait où puiser les informations intéressantes . » [Bernard Werber] Dieng Matthieu Page 1 Run Shot 2 KTM Leonetti Alexandre SOMMAIRE 2 SOMMAIRE SOMMAIRE ............................................................................................................................. 2 REMERCIEMENTS ...............................................................................................